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Inspiration

Aujourd'hui je voulais vous faire une petite confidence (vous raconter quelque chose qu'on ose rarement avouer publiquement en somme) parce que c'est une énigme personnelle que j'avais envie de partager avec vous.

Jamais facile les confidences...

Ça fait d'ailleurs 4000 fois que j'essaie de rédiger et re-rédiger cette intro sans savoir par quel bout le prendre.

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Cool kids

Quand j'étais au collège on appelait ça les gens populaires, mais ça fait des années que j'emploie le terme "cool kids", sans doute mon petit côté Mia Frye.

"Cool kid" ça fait beaucoup plus rêver que "populaire" dans mon esprit, y a un côté "je suis cool sans le faire exprès" alors que populaire on a le sentiment que ça demande un peu de travail.

J'analyse parce que je ne suis pas capable de faire grand chose de plus : malgré tous mes efforts depuis toujours, j'ai jamais été une cool kid.

Je côtoie des gens que je considère être des cool kids, ce qui était déjà un graal quand j'étais ado.

Et aujourd'hui je sais que j'en serai jamais une.

Je suis pas faite du bon bois pour ça.

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Femmes je vous aime

Je n'ai jamais trop parlé de cette étape de ma vie professionnelle car à l'époque j'avais un peu peur des représailles si je m'exprimais publiquement.

C'est fou quand j'y pense, avec MeeToo je suis persuadée qu'aujourd'hui même à l'âge que j'avais à l'époque je ne me laisserais pas faire par ce patron abusif comme je l'ai fait.

J'étais jeune, j'étais sortie de l'école 2 ans plus tôt à peine, c'était mon 2e job et je ne savais pas poser les limites.

Sa phrase préférée c'était "les femmes sont l'avenir du monde, je les aime"...

J'aurais dû me méfier.

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Ma tambouille d’avril 2021

Ce mois d'avril a été tout l'inverse du mois précédent : extrêmement fatiguant, avec beaucoup de travail et peu de temps pour l'exécuter 😅 - confinement avec un enfant de moins de 2 ans oblige.

D'autant qu'un de mes projets personnels qui me tient à coeur depuis plus d'un an a fait un bon de géant (l'achat d'une maison) au même moment j'ai dû jongler comme une malade pour pouvoir m'occuper de tout.

Dans cet article tambouille ce mois ci il sera donc principalement question de la difficulté de concilier son rôle de parent et d'entrepreneur, un petit aperçu de ce projet perso d'achat de maison qui a pris beaucoup de place mais aussi les projets qui me font toujours un peu vivre comme instagram, les opés auxquelles je participe et leurs tarifs en toute transparence !

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Sueurs froides

Trempée d'eau et de sueur, je fais coulisser la porte de la salle de bain en panique. J'ai les tempes qui palpitent et le coeur qui bat très fort.

J'attrape mon téléphone pour appeler mon mec à l'aide et pars me réfugier sur le canapé.

Il arrive 10 minutes plus tard avec deux amis qui étaient passés le voir.

J'ai honte.

J'ai honte de ma salle de bain qui se trouve sous 2cm d'eau et dont les murs aspergés dans la bataille dégoulinent. Une chaise est couchée, un flacon cassé et le contenu de plusieurs boîtes éparpillé au sol.

Mon mec fait coulisser la porte et constate les dégâts pendant que j'essaie de rire de la situation auprès de nos potes.

J'ai complètement vrillé 15 minutes plus tôt et je fais pas la fière.

Pourtant quand j'y repense je ne sais pas trop comment j'aur… Lire la suite...

Mon amour je t’ai vu·e au beau milieu d’un rêve

Je suis fascinée par les rêves depuis l'adolescence.

Je suis même une véritable madame Bovary en puissance tant je peux être obsédée par mes rêves pendant des semaines voire des mois, quand ce ne sont pas des années pour certains...

Je ne sais d'ailleurs pas vraiment si cette faculté que j'ai à me replonger dans ces rêves pour m'évader dans mes moments difficile est une chance ou un puit sans fond dans lequel je pourrais rester prisonnière un jour.

Ça a commencé avec le film : "Sang chaud pour meurtre de sang froid" vu un dimanche soir sur TF1 où j'ai découvert "l'interprétation des rêves" de Freud que j'ai alors dévoré au CDI de mon collège.

J'ai ensuite écumé tout ce que ses rayons comptaient de livres sur les rêves, de poèmes, d'oeuvres picturales...

Je trouvais fascinante cette idée que je pouvais avoir enfin les clés pour décrypter toutes ces histoires sans queu… Lire la suite...

Oh non pas encore une histoire de môme

Avant de tomber enceinte j'avais bien conscience que beaucoup de gens s'agacent immédiatement quand leur parle de questions qui touchent aux enfants ou la maternité.

S'agacent ou fuient immédiatement comme si on allait leur parler diahrrée morve et forte fièvre dès qu'on ouvre la bouche pour parler de son enfant.

J'ai donc fait comme beaucoup de femmes l'amère expérience de cette posture que beaucoup de gens adoptent vis à vis de tout ce qui touche de près ou de loin aux enfants et à la maternité.

Et cette expérience m'a mise en colère parce que j'ai compris à quel point les fondations de cette posture sont souvent misogynes.

Alors qu'il y a dans l'observation des tout petits des milliers d'enseignements à retenir et de choses de la vie à redécouvrir.

J'ai compris, découvert et redécouvert tant de choses avec mon fils que l'observer me fascine.

Bébé célibataire à 30 ans

Poke poke poke - je renvoie plusieurs fois par jour des pokes mi amusée mi consternée.

On est en juin 2011 et je suis officiellement passée célibataire sur facebook il y a peu de temps, moi qui incarnait la meuf mariée et en couple à vie dans la tête de mon entourage.

Après 10 ans de couple avec la même personne, j'étais redevenue célibataire à 29 ans (bientôt 30) pour la première fois depuis mes 18 ans.

Un vrai bébé célibataire, pour qui les techniques de drague s'étaient arrêtées à celles du lycée à l'aube des années 2000 :

Les petits mots plein de sous entendus écrits au stylo 10 couleurs dans les agendas
Les "tu veux sortir avec moi" murmurés sous le préau
Les "smacks" (non pas les céréals)
Toute une classe qui mate et commente le couple nouvellement formé à travers la cour
Les baisers langoureux dans les couloirs avant les cours
Les appels sur le fixe de la maison avec toute la famille qui peut rép… Lire la suite...

Désordres alimentaires

"Finis ton assiette !" "Mange au moins cette moitié de viande !" "Tu ne sortiras pas de table avant d'avoir mangé ta purée", "tu peux y passer la soirée je serai patient !"

Ces phrases là je les ai entendues chaque jour que dieu fait jusqu'à mon entrée au collège.

J'ai toujours cru que c'était moi qui déconnais, qui avais un problème avec la nourriture.

Mais depuis que je suis devenue maman, comme pour beaucoup d'autres aspects de ma vie je réalise que non : c'est la façon dont on nous élevait dans les années 80 qui n'était pas toujours super saine.

J'ai beaucoup appris toute cette dernière année sur la lâcher prise avec la bouffe et mon fils qui ne voulait pas manger.

Et ça m'a beaucoup aidée à "digérer" cette souffrance qu'on m'a affligée pendant mon enfance à chaque repas.

Je fais alors la paix avec la peti… Lire la suite...